Vieux Silly, coin de terre aux rudes travailleurs
Quand le soleil couchant, colore vos sillons
Lorsque le front mouillé les vaillants laboureurs
Ont préparés leurs champs, pour de belles moissons
Quand du flanc des collines, on admire la plaine
Qui s’étend jusqu’à l’horizon
Du fond des prés fleuris, une rumeur s’élève
Pour redire en une oraison